Jonathan Coe : Une touche d’amour
Je le confesse d’emblée : j’ai un faible pour cet auteur britannique dont j’ai lu tous les romans en traduction française, de Testament à l’anglaise (1995) à Bienvenue au club (2003) en passant par La Maison du sommeil (1998) et Continuer la lecture Jonathan Coe : Une touche d’amour