En matière de moyen d’expression, j’ai beaucoup tergiverser depuis deux ans. Après avoir conçu un site statique en HTML5/CSS3 pendant la pandémie, j’ai longuement cherché une solution afin de me faciliter la vie, en tant qu’auteur, et aussi en tant que diffuseur. Alors, j’ai essayé des services tiers comme Mataora, Silvrback, Write.as, etc. Et sur serveur, je me suis laissé tenter par des CMS comme Textpattern, Dotclear et WordPress. J’ai même essayé de comprendre quelque chose à des générateurs de sites statiques comme Hugo et Jekill, mais en vain… Alors, malgré mes réticences, je suis revenu sur WordPress. Pas WordPress.com, bien entendu. Mais WordPress.org, c’est-à-dire une plateforme CSS (Content Management Systeme) Open Source que j’ai installé sur un serveur distant.
Continuer la lecture de « De retour sur WordPress »Mois : juillet 2025
Blogging : de Silvrback à Write.as
Je suis une girouette technologique, je sais. Au début de l’année, dans un billet assez complet, j’ai énuméré les cinq exigences nécessaires à la sélection d’une plateforme de blogue pour un usage personnel. Pour rappel, les voici :
Continuer la lecture de « Blogging : de Silvrback à Write.as »La finalité des choses
Quand nous prenons la peine d’observer le monde autour de nous, nous nous rendons vite compte que nous sommes nombreux à oublier la finalité des choses. Comme si nous ne savions plus pourquoi nous allons au travail le matin, voire pourquoi nous nous arrachons du lit pour nous y rendre. Un peu comme ces gens qui discutent sans fin de leurs chaînes audio haut de gamme sans jamais aborder la question de leurs choix musicaux, de ce pour quoi, en fin de compte, ils ont acheté ces chaînes, souvent hors de prix par ailleurs. La finalité de ces chaînes audio se situe dans l’écoute musicale.
Continuer la lecture de « La finalité des choses »La caissière du supermarché
Cet après-midi, à la demande de mon épouse, je suis allé faire des courses au supermarché non loin de chez moi. Des aliments de base qui manquaient à la maison : du lait, des œufs, des tomates, etc. Bref, pas grand-chose, juste deux ou trois trucs. Au moment de passer à la caisse, la jeune fille m’a demandé si j’avais la carte de fidélité de la chaîne d’alimentation. Je ne l’avais pas. Non parce que je ne juge pas avantageux d’obtenir des rabais sur des achats cumulés, mais plutôt parce que je ne sais plus où les mettre, toutes ces cartes, qui finissent par gonfler le volume de mon portefeuille et, par le fait même, la poche arrière de mon pantalon. Toutefois, devant la gentillesse de la caissière, qui avait l’âge d’être ma petite fille, je lui ai demandé de m’indiquer comment je pourrais me la procurer, cette carte. Alors, elle m’a remis un formulaire de format A5 :
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